Les jeux vidéo ont eu un grand succès depuis ses débuts et ne cessent de prendre de l’ampleur. Mais le sujet d’engouement se porte surtout sur l’addiction, qui elle, augmente également de jour en jour. Ce problème d’actualité est généralement dû au progrès sans fin de la technologie, mais également l’influence d’Internet. Effectivement, ce fléau affecte de plus en plus de personnes en ce moment.
Rappel sur l’addiction à un ou des jeux vidéos
De prime abord, nécessaire est de préciser qu’il y a une grande différence entre activités excessives et addictives. Celui qui joue excessivement aux jeux vidéo n’est pas forcément un accro. Mais à la longue, il peut le devenir. La principale différence entre ces deux termes repose surtout sur l’interférence que l’activité génère dans la vie quotidienne du concerné. À vrai dire, un accro aux jeux vidéo se définit globalement par le fait qu’il perd carrément une partie de sa vie à y jouer.
Les symptômes d’addiction aux jeux vidéo
Avant de pouvoir prévenir ou encore remédier à l’addiction des jeux vidéo, il faut tout d’abord connaitre les principaux symptômes de ce dernier.
Apparemment, il existe une série d’indicateurs comportementaux confirmant le fait qu’une personne est accro ou non à un jeu vidéo. En principe, plusieurs symptômes sont étroitement liés à la dépendance.
Ainsi, l’un des symptômes principaux reste le focus. Pour être simples, les jeux vidéo représentent certainement le noyau central de la vie du sujet.
Dans ce cadre, la grande partie de ses pensées se dirigent exclusivement vers le jeu, tout comme ses actions et ses sentiments. Une addiction à cette activité peut également engendrer une modification de l’humeur. À priori, un accro se caractérise surtout par son expérience subjective d’excitation, mais aussi d’euphorie durant ses parties de jeux.
Un addict est souvent sujet de tolérance
C’est-à-dire qu’il a toujours un besoin croissant de jouer afin d’atteindre les sensations qu’il éprouvait au début de son addiction, voir durant le moment où il joue pour la première fois à un jeu. Le symptôme de sevrage est également une marque prouvant l’addiction. Autrement dit, quand le temps de jeu est considérablement réduit, le sujet manifeste une série de symptômes similaires à un sevrage d’alcool ou de drogue, comme l’irritabilité ou encore la mauvaise humeur.
Du fait que l’addict est irritable, ce sentiment de conflits perdure et peut même le pousser à couper les liens avec son entourage. Sans l’ombre d’un doute, une addiction génère l’apparition de conflits que ce soit au bureau ou à l’école, ce qui affecte les relations interpersonnelles. Tout comme dans un sevrage, la rechute est le moment le plus dangereux. En effet, après de longues périodes d’abstinence, les comportements de l’addiction reviennent à la surface.
Comment traiter l’addiction ?
Avec le manque de recherche et surtout la récente prise de conscience dans ce secteur, les traitements inhérents cette forme d’addiction est rarissime. Par ailleurs, il existe plusieurs facteurs entravant le progrès de recherche dans ce domaine, comme la croissance de l’industrie de jeu vidéo, et ce sujet peut éventuellement stopper net les consommations dans ce secteur. Le faible coût de la dépendance pour le joueur, mais aussi cette attitude permissive du grand public, fait que l’addiction à ces jeux vidéos est anodine.
L’avis des spécialistes
Toutefois, quelques rares spécialistes ont tenté de mettre en avant des mesures à prendre pour prévenir ce problème.
Il faut savoir que les ados et les plus jeunes, sont les plus influençables et les plus vulnérables à ce sujet. Ainsi, les spécialistes se sont surtout focalisés sur les mesures de préventions s’adressant à cette classe d’âge.
La prévalence
La prévalence vise directement les éducateurs, et principalement les parents. Face au soupçon que son enfant soit sujet à l’addiction à des jeux vidéo.
À cet effet, il est préférable de vérifier autant que possible le contenu des jeux les plus utilisés ou encore remplacer les jeux violents. Afin d’éviter autant que possible l’isolement, il est plus judicieux d’encourager son enfant à jouer en groupe, lui permettant d’interagir. Les parents peuvent également imposés des horaires pour jouer à la console ou au pc. Quoi qu’il en soit, entretenir et maintenir une écoute active avec l’enfant est toujours une bonne idée. De même que de l’inciter à développer d’autres activités: culturel ou sportive.
Par contre, si toutes ses indications n’ont pas été satisfaisantes. Que les parents remarquent toujours cette addiction chez l’enfant, il serait important de prendre une sentence irrévocable.
La dernière solution
C’est la dernière solution pour évincer cette addiction. Tels que le fait de supprimer la console de jeu durant un certain moment. Apparemment, l’abstinence peut atténuer ce sentiment d’addiction. Certes, aucune mesure de prévention de ce genre ne peut être imposée à un adulte. Aujourd’hui des cliniques mettent en avant des thérapies pour cette population d’addict.
Merci pour ton article vraiment intéressant. Honnêtement, je pensais que j’étais accro aux jeux vidéo, mais heureusement, ce n’est pas le cas. Je peux tout à fait vivre sans mes consoles.